Attaque terroriste contre le siège du CDK-F à Paris

CDK-F_Logo
Ce vendredi 23 décembre 2022, en fin de matinée, une attaque terroriste a été perpétrée par un homme armé, contre notre siège, au 16 rue d’Enghien, dans le 10e arrondissement de Paris. Pour le moment, on dénombre au moins trois militants kurdes décédés et plusieurs blessés, dont trois dans un état grave. Le Conseil démocratique kurde en France (CDK-F) condamne avec virulence cette attaque terroriste infâme qui intervient suite à de multiples menaces proférées par la Turquie, alliée de Daesh.  Cet attentat terroriste survient également peu avant le 10e anniversaire du triple  assassinat des militantes kurdes à Paris le 9 janvier 2013, des meurtres qui restent toujours impunis en raison du refus de la France de lever le secret-défense.  Nous tiendrons une conférence de presse ce soir, à 18h30, dans nos locaux.  Nous appelons tout le monde à dénoncer cette attaque ignoble en se rassemblant dès à présent devant 16 rue d’Enghien. Par ailleurs, nous vous appelons à participer à une veille nocturne qui aura lieu cette nuit, dans nos locaux, pour protester contre cet attentat terroriste et rendre hommage aux militants kurdes assassinés.

Plus à explorer

Le Conseil démocratique kurde en France (CDK-F) condamne fermement l’usurpation autoritaire des municipalités kurdes de Mardin, Batman et Halfeti par le régime AKP-MHP. En destituant les co-maires du DEM Parti, démocratiquement élus, et en les remplaçant par des administrateurs désignés, le gouvernement turc piétine une fois de plus la volonté populaire et viole gravement les principes démocratiques.
Non classé

L’État turc piétine la démocratie et intensifie la répression contre le peuple kurde

Le Conseil démocratique kurde en France (CDK-F) condamne fermement l’usurpation autoritaire des municipalités kurdes de Mardin, Batman et Halfeti par le régime AKP-MHP. En destituant les co-maires du DEM Parti,

Le Conseil Démocratique Kurde en France condamne fermement les bombardements meurtriers perpétrés par l'armée turque dans le nord de la Syrie, qui ont causé, selon les premiers bilans, la mort de plus de 12 civils, dont des enfants et ont blessé plus de 25 autres personnes. Ces bombardements, survenues après l’attaque contre le siège des industries de défense de Turquie près d'Ankara, sont non seulement injustifiées, mais constituent également des crimes de guerre flagrants.
Non classé

Halte aux bombardements de l’État turc contre les civils au Rojava

Le Conseil Démocratique Kurde en France condamne fermement les bombardements meurtriers perpétrés par l’armée turque dans le nord de la Syrie, qui ont causé, selon les premiers bilans, la mort